« Je veux une nouvelle classe, une maison pour les enseignants, la lumière dans les maisons et que le transport scolaire coûte moins cher », explique, dans sa langue wayampi, Thomas Palassissi, l’un des chefs coutumiers de Trois-Sauts, territoire autochtone des confins de l’Amazonie française qui manque d’à peu près tout.

Le manque de services publics et d’équipements de base est dénoncé par les 700 ...